Les enfants ne jouent pas le cinéma
Le matin d’avril est ensoleillé, la salle du café a éclairé par les rayon du soleil,il est très beau,très clair .C’est très agréable pour mon ami et moi,gouttons les café en lisant le journal Provence. De temps en temps, on parle du temps ou quelque événement qui figurent dans le journal comme le président Barak Obama, et les autres participants de la réunion du 20 grands à Londres. On parles aussi le voyage au Vietnam que je viens réaliser à quelques mois précédents, on parle aussi des petits fils à nous….Mon ami me dit « Nous faisons la
Promenades au parc à tout à l’heure, maintenant ici .On parle depuis les grands jusqu ‘aux les petits. »Après, il ajoute « pendant la crise économique mondiale, nous sommes dans la paradis du monde, et aucune chose nous menace »
Nous éclatons de rire, mon ami a toujours fixé les yeux sur le pari la course des chevaux
Je vois à coté nous,deux jeunes femmes entrent asseoir dans la tables non loin de nous,dès qu’arrivant,une entre eux sort tout suite dans son sac un cigarette et allumettes. Je dis à mon amis « Tu es sûr d’être dérangé par importe quoi , »Il ne répond pas. Je lui dit doucement « Tu vas voir plutôt » Après jette d’un coup d’œil à la salle,elle ne voit que nous,et mesurer les risques, car le visage chinois comme noua,elle ne peut être pas soucis,car normalement nous ne cherchent pas les affaires des chose,vraiment dire nous ne nous pas oser le dire Elle commence allumer le cigarette et fume. Remarquez vous que nous sommes Avril 2009 l’interdisions de fumer au endroit public à partir 1-1-08, ça fait 20 mois déjà appliqué la loi
Je me sens tout de suit après une première nuage de fumé, quelque chose comme une petite verre entre dans mes nasales, ensuite je me sens piqué les yeux et ma gorge Je commence à tousser Chaque fois avec la respiration difficile,Je prends mon verre du café en dirigeant à la table au bout de la salle ;Une jeune femme me demande « je vous dé gène monsieur ? » Je la réponse par une rafale du toux, ma respiration est difficile, je sors mon Ventoline presse dans la gorge pour calmer. Ma geste est discrète, mais elle ne peut pas être échappée les yeux de la dame, elle dit à son amie, basse voix mais juste pour je l’entendre « Il fait le cinéma. »
Je ne réponde pas car je ne sais quoi fait avec un type de rigole comme ça.
On laisse une distance avec la fumeuse et revient le journal
Quelque minute plus tard,deux autres jeunes femmes entrent au bar et s’assoient à côté ces dames,une jeune avec une poussette trouvant un bébé dedans.,des autres ,autant que installation,elle jette deux baquets cigarettes sur la table Nous lisons le journal et de temps en temps ,parle des vies et presque oublier l’histoire. Soudain, j’entends la toux d’enfant de plus en plus aggravé,sa mère prends sur le bras,tape doucement son dos,la toux est calmé ;mais soudain, on entend la crie de la mère,après la toux,enfant respire difficile,les autres clients demandent appeler urgence. Le barman cherche l’adresse sur le mur au comptoir .Une douzaine entoure le bébé. Soudain, on entend « Écartez vous, je suis médecin »On trouve toute de suite un client familier, il prend le petit dans son bras et demande sa mère « Est-ce que enfant est ashm ? » « Vous portez sur vous un tube de ventoline ? » « Non ».Une femme dit « il a un en indiquant à moi .Comme machine,je sorte mon truc et plus vite le docteur calme le siffle du petit ,il est normal Docteur dit à sa mère « Vous devez porter avec vous toujours » « Je sais, mais aujourd’hui j’oubli »
La mère me rend la ventoline et me remercie
Je répond « a votre service, oubliez vous la porter après. »
En regardant, le jeune femme « fumeuse. »J’ajoute « surtout l’enfant ne fait pas le cinéma comme moi tout à l’heure »
Huynh ngoc Diêu
Avril 2010
